Le téléphone est devenu le nouveau doudou
Le nombre de personnes qui possèdent un téléphone mobile est 5.1 milliards soit près de 75% d’habitant sur Terre. Le téléphone sert à téléphoner, à envoyer des SMS, être sur les réseaux sociaux et se connecter sur internet. Cela peut provoquer jusqu’à des situations d’addictions qui touchent chaque année des personnes, ce qui peut provoquer une nomophobie.
La nomophobie, c’est de souffrir de ne pas avoir son téléphone à côté de soi et elle peut se traduire par des attaques de panique, une respiration qui deviendra courte, des nausées, des tremblements ou un rythme cardiaque qui sera accélérée
L’addiction est l’utilisation incessante au téléphone portable. Exemple : dans la rue, dans les commerces, dans les transports et même dans les salles d’attentes… Les personnes ont besoin d’avoir leur téléphone près de soi, dans leurs mains et proche de leur lit. Ceux qui dorment à côté de leur portable sont 44 % de personnes même parfois il le mettent sous l’oreiller pour qu’ils ne ratent aucun messages ou d’appel. Selon une étude, 15% d’adultes disent de ne pas avoir de téléphone portable et 40 % qui en ont ne s’en passeraient pas. Ces personnes sont comme les accros du shopping
Le téléphone portable chez les jeunes :
Le téléphone est devenu le passe-temps numéro 1 des jeunes, plusieurs d’entre eux deviennent rapidement obsédés au point d’en envoyer des SMS en plein cours. Cela nuit grandement à leur scolarité et crée de l’échec scolaire. Ils passent plus de temps devant les téléphones, les tablettes, les ordinateurs…. que dans leurs livres scolaires. Les jeunes sont totalement obsédés par leur téléphone. De tous les ages, les élèves sont désormais accros à ses gadgets. Certains arrivent même à se mettre en échec scolaire et jusqu’à être suivis par un centre de santé.
La santé qui devient dangereuse à cause du téléphone portable :
Ceux qui utilisent le plus souvent le téléphone portable ce sont les jeunes. Les adolescents sont les plus nombreux à se servir d’un téléphone portable de plus en plus tôt. Le portable n’est pas la seule addiction qu’il peut y avoir chez les jeunes. Ils sont aussi addicts à Internet, aux réseaux sociaux ou aux jeux vidéos. La famille, les professionnels de santé de l’enfance et les pouvoirs publics doivent redoubler de vigilance face à l’émergence de ces nouvelles addictions. Même si le téléphone portable favorise les rapports sociaux, son utilisation devient donc négative lorsqu’il y a un abus d’usage qui entraîne une dépendance et des angoisses de séparation chez les accros.
La psychologie afin de mieux comprendre cette maladie :
Des psychologues expliquent que le mobile a habitué le citoyen à pouvoir joindre n´importe qui n´importe quand. Certains lui reprochent de créer un sentiment d´urgence et d´impatience artificiel. Les jeunes addicts aux nouveaux gadgets serait de voir des psychologues afin d’expliquer cette maladie. L’utilisateur ne parle plus à personne tellement qu’il est accro. Le portable est un « outil de non communication » selon la formule de Chandra Maharzan : puisqu’on est tout le temps joignable, on a l’impression de communiquer d’avantage, mais les conversations sont brèves.
Lisa L 4°5
